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bir lehlou - Page 339

  • L’UE "réaffirmé le plein soutien" à une "solution politique" et au processus de négociation sur le Sahara

    L'Union européenne (UE) a réaffirmé, mercredi à New York, sa "préoccupation" quant aux implications du conflit du Sahara sur la sécurité régionale.
     
    "L'Union Européenne demeure préoccupée par les implications du conflit" du Sahara sur la "sécurité et la coopération dans la région", a affirmé l'ambassadeur, représentant permanent de la Suède auprès de l'ONU, M. Anders Liden, qui intervenait au nom de l'UE, après l'adoption sans vote de la résolution sur le Sahara, par la 4-ème commission de l'Assemblée générale de l'ONU.

    Il a également "réaffirmé le plein soutien" de l'UE pour les efforts du secrétaire général de l'ONU en vue de parvenir à une "solution politique juste, définitive et mutuellement acceptable".

    "L'UE continue d'encourager les parties à œuvrer en vue de parvenir à une telle solution dans le cadre des Nations Unies", a ajouté M. Anders, se félicitant de la nomination et des efforts de l'ambassadeur Christopher Ross en tant qu'Envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU.

    "Nous encourageons fermement les parties pour qu'elles continuent à œuvrer avec lui (Christopher Ross) pour permettre au processus politique d'aller de l'avant", a-t-il souligné.

    L'UE exprime, en outre, "son soutien total aux négociations de Manhasset et se félicite de la tenue de la rencontre informelle en Autriche (Durnstein 10-11 août), à l'invitation de M. Ross, pour préparer le 5-ème round des négociations", a ajouté M. Anders.

    L'Union européenne, a-t-il poursuivi, "se félicite de l'engagement des parties de continuer de faire preuve de volonté politique et d'œuvrer dans une atmosphère propice au dialogue en vue d'entrer, de bonne foi et sans condition préalable, dans une phase plus intensive de négociations, qui tienne compte des efforts et développements depuis 2006 et permette la mise en œuvre des résolutions 1754, 1783, 1813 et 1871 et le succès des négociations".

    Sources : le site politique du Sahara occidental : 
                www.corcas.com
     Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
                www.sahara-online.net 
    Le site de la culture hassanie :
                www.sahara-culture.com   
    Le site des villes du Sahara occidental : 
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  • Le Maroc se félicite de l’adoption par consensus de la résolution sur le Sahara par la 4è Commission de l'ONU

    Le Maroc s'est félicité, mercredi, de l'adoption par la quatrième Commission de l'Assemblée générale de l'ONU d'une résolution sur le Sahara marocain qui, en s'abstenant une nouvelle fois de faire mention du référendum classique à options extrêmes, écarte les approches dogmatiques que certaines parties continuent à vouloir ressusciter.

    Le Maroc "se félicite de l'adoption, par consensus, ce jour, par la quatrième Commission de l'Assemblée générale de la résolution relative au Sahara marocain ", indique un communiqué de la Mission permanente du Maroc auprès de l'ONU.

    "Ce consensus, réalisé pour la troisième année consécutive, illustre la convergence du Conseil de sécurité et de l'Assemblée générale sur les fondamentaux de la solution politique voulue par la Communauté internationale", ajoute la même source.

    Ces fondamentaux "se rapportent, tout d'abord, à l'exigence d'une négociation intense et substantielle, empreinte de réalisme et d'esprit de compromis", relève la Mission permanente du Maroc.

    "En effet, en s'abstenant pour la troisième année successive de faire mention du référendum classique à options extrêmes, dont l'inapplicabilité a été amplement démontrée, la nouvelle résolution de la quatrième Commission écarte les approches dogmatiques que certaines parties continuent à vouloir ressusciter et dont l'objectif ultime est de faire régresser, voire annihiler les efforts des Nations unies ", précise le communiqué.

    "Ces fondamentaux, poursuit la même source, concernent ensuite l'objectif des négociations qui demeure l'émergence d'une solution politique médiane et consensuelle, pour laquelle le Maroc a proposé son initiative d'autonomie, perçue comme crédible et sérieuse par l'ONU autant que par la Communauté internationale".

    De la sorte, fait observer la même source, " les Etats membres de l'ONU marquent leur détermination à consacrer la centralité du processus politique et à éviter tout ce qui pourrait nuire à la poursuite du processus de Manhasset".

    "Plus particulièrement, la quatrième Commission a confirmé les dispositions des résolutions du Conseil de sécurité, notamment les résolutions 1813 (avril 2008) et 1871(avril 2009) qui mettent l'accent, notamment, sur les efforts consentis + depuis 2006 et les développements subséquents +, en référence claire à l'initiative d'autonomie présentée par le Royaume ", ajoute le communiqué.

    Elle souligne également "la responsabilité qui incombe aux Etats de la région de coopérer avec les efforts des Nations Unies mais aussi les uns avec les autres pour contribuer à la réalisation des progrès sur la voie d'une solution politique de compromis ", insiste la même source.

    "Pour sa part, le Royaume du Maroc réaffirme sa disponibilité à traduire en actions les vœux du Conseil de sécurité et de l'Assemblée générale et se tient prêt à participer aux prochaines étapes de négociations, afin de parvenir à une solution politique de compromis, dans le respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale du Royaume".

    Le Royaume du Maroc "espère que les autres parties démontreront le même sens d'engagement et de responsabilité, en s'intégrant, durant les prochaines étapes de négociations, dans la dynamique de compromis afin de mettre un terme aux souffrances des populations des camps de Tindouf et concrétiser l'idéal maghrébin ", conclut le communiqué.

    Sources : le site politique du Sahara occidental : 
                www.corcas.com
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  • Les populations séquestrées à Tindouf ne doivent plus souffrir des manquements de l'Algérie à ses engagements (Think Tank US)

    camps-de-lahmada_sol.jpgLes populations séquestrées dans les camps de Tindouf ne doivent plus souffrir des manquements de l'Algérie au droit international, estime le think tank américain, Inter-University Center for Legal Studies (IUCLS), appelant le Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR) à établir une présence significative dans les camps afin d'y assurer la protection des droits des populations, y compris la liberté de mouvement.

    "En vertu de ses engagements, l'Algérie doit collaborer avec le HCR afin de lever tous les obstacles qui se dressent devant la mise en place d'une approche basée sur les droits, y compris son opposition au recensement des populations des camps (...) et son soutien militaire au Polisario, qui contribue aux restrictions de la liberté de mouvement", souligne ce think tank, dans un récent rapport.

    Bien que l'Algérie soit signataire des conventions internationales relatives aux droits des réfugiés et participe aux mécanismes du HCR, ce pays manque à ses devoirs vis-à-vis des populations séquestrées sur son sol, déplore le rapport, qui regrette aussi que l'agence onusienne, "en charge de la protection des réfugiés (...) ait préféré se cantonner dans un rôle secondaire qui se limite à l'approvisionnement des camps en nourriture et en matériel".

    "Etant donné les abus commis durant plus de trois décennies, il est impératif que cette situation change afin qu'une autre génération de ces populations ne soit pas dérobée de ses droits, de ses opportunités et de son avenir", insistent les auteurs de ce rapport, qui rappellent que "le HCR a le pouvoir de solliciter d'autres instances onusiennes, tel que le Conseil de sécurité, afin de faire avancer et de protéger les droits des réfugiés".

    Le document constate, dans ce cadre, qu'au moment où le conseil de sécurité est activement engagé dans la recherche d'un règlement à la question du Sahara et "en dépit de l'existence de preuves attestant d'abus et de violations" des droits dans les camps de Tindouf, le HCR n'a pas cherché à solliciter l'assistance du Conseil de sécurité pour résoudre et remédier à ces abus.

    En attendant, poursuit le rapport, les populations séquestrées sur le sol algérien "vivent dans des conditions physiques et morales déplorables", insistant sur la responsabilité d'Alger quant à l'obligation de protéger les droits des pensionnaires des camps de Tindouf.

    Il est temps, insiste le rapport, pour le Haut commissariat aux réfugiés d'avoir un contrôle "plus efficace" de la situation dans les camps afin d'y "assurer, dans la transparence et la responsabilité, la distribution de l'aide" destinée aux populations, d'appeler à la mise en œuvre immédiate d'un recensement et de prévenir la militarisation des camps.

    Le rapport appelle aussi le HCR à mettre en place, loin de toute intimidation, un programme de rapatriement volontaire des populations des camps pour qu'elles puissent regagner le Maroc, ou quitter les camps pour s'installer dans des pays tiers.

    "Parquer des populations dans les camps (...) va contre les dispositions de base du droit relatif aux réfugiés et le mandat du HCR, et ne facilite pas leur intégration au niveau local", s'indignent les auteurs du rapport, pour qui "les camps, où les violations du droit international sont une réalité, ne peuvent être une solution durable".

    Le rapport soutient, dans ce cadre, que le fait d'isoler des populations et "les assujettir à un contrôle arbitraire va à rebours des principes fondateurs du Haut commissariat aux réfugiés", mettant en exergue l'urgence pour les populations séquestrées dans les camps de Tindouf de pouvoir jouir de leur liberté conformément au droit international.

    Crée en 1997, Inter-University Center for Legal Studies est un think tank qui apporte sa contribution académique à un large éventail de sujets concernant les droits de l'homme, les questions ethnique et raciale, ainsi que la tolérance religieuse, le terrorisme et les crimes de guerre.

    L'objectif des travaux de l'IUCLS est de mettre l'accent sur les liens entre l'état de droit et plusieurs sujets d'actualité, et observer les menaces actuelles et possibles à la paix et à la sécurité auxquelles il apporte des réponses stratégiques.

    L'IUCLS, qui est un consortium de plusieurs universités, est présent en tant que think tank dans plus de 35 pays de par le monde.

    Sources : le site politique du Sahara occidental : 
                www.corcas.com
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